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20 mars 2007

Granulométrie

Ce n'est pas très lourd, un gravier. Ni très gênant. Même dans une chaussure, on sait que ça ira mieux dès qu'on l'aura enlevé.
Deux graviers, trois graviers, trois graviers, dix graviers, ce n'est pas très lourd non plus.
Ce qui crée le poids, c'est l'accumulation des graviers, des dizaines et des dizaines de graviers, tous les jours, ou plutôt chaque jour des graviers souvent différents les uns des autres, mais parfois identiques, tiens celui-là on ne l'avait pas vu depuis longtemps, ceux-là c'est tous les jours depuis 3 semaines, ceux-là on y a droit à chaque instant, tiens un nouveau...
Les graviers, ça peut peser aussi lourd qu'une montagne.

12 Commentaire(s):

Anonymous Anonyme a écrit...

allez courage...à force on réussi à les enlever tous ces graviers...

21/3/07 08:06  
Anonymous Anonyme a écrit...

On te sent un peu lasse....
Courage ! L'adolescence ne dure pas éternellement....
Et si tu as envie de vider ton sac je peux te filer mon mail !

21/3/07 08:48  
Anonymous Anonyme a écrit...

Jimmy va trop vite, Jimmy pleurniche
Il sent son parfum sur la corniche
Les lacets, le gravier, et, dans l'air du soir
La Chrysler s'envole dans les fougères et les nénuphars

Jimmy s'éveille dans l'air idéal
Le paradis clair d'une chambre d'hôpital
L'infirmière est un ange et ses yeux sont verts
Comme elle lui sourit, attention : Jimmy veut lui plaire

21/3/07 12:03  
Anonymous Anonyme a écrit...

Je n'entendrai plus jamais ton pas sur le gravier
Ou le cri du chien qui t'attendait
Je ne vois plus danser ta robe mauve en été

21/3/07 12:05  
Anonymous Anonyme a écrit...

J'ai refermé la grille
Et ramassé les feuilles tombées
J'entendais plus le bruit de ta voiture
Et tes pas sur le gravier
Qu'il faudrait que j'oublie
Mais à quoi bon vivre si c'est pour t'oublier

21/3/07 12:06  
Anonymous Anonyme a écrit...

–Quand nul ne vous aime et ne vous écoute,
Pauvres p'tits"graviers", comment vivez-vous ?
– Nous buvons, d'un coup, quéqu's boujarons d'gouttes
Et l'on s'croit heureux lorsque l'on est soûls...

21/3/07 12:10  
Anonymous Anonyme a écrit...

Il revient vers chez lui
Le portail électrique
Et les allées de graviers entre les massifs de fleurs
Faire un peu de café
Mettre un peu de musique
Oublier ce que cette fille lui disait tout à l'heure...
Quand elle parlait d'un noceur... d'un noceur
Et puis elle a parlé de dandy, de rouleur
Et aussi de cargo, de croiseur
De gens qui claquent des doigts
Elle a dit : no sir, no sir
T'es tombé du côté des nantis, des menteurs
Dans ta poitrine j'entends le battement d'un compteur
Il faut pas que tu comptes sur moi
Elle a dit : no sir, no sir
La vie a fait de toi un dandy, un rouleur
T'avances comme au volant d'un cargo, d'un croiseur
J'aime pas comme tu claques des doigts
Hey, elle a dit : no sir

21/3/07 12:10  
Anonymous Anonyme a écrit...

La haut sur la montagne,
Les deux pieds les deux mains dans la merde
La haut sur la montagne,
Il y avait un gros cul (bis)

La haut sur la montagne,
Il y avait un gros cul
Un gros curé d' campagne
Suivi de son long vit (bis)

Etc.

21/3/07 12:15  
Anonymous Anonyme a écrit...

On a tous notre dose de gravier, je trouve ce mot bien indiqué, ça me parle...

21/3/07 21:03  
Anonymous Anonyme a écrit...

Aaah, oui, on a tous notre dose de graviers... mais ils tombent de la chaussure au bout d'un moment alors ça nous allège !

21/3/07 21:59  
Anonymous Anonyme a écrit...

oui et les petits graviers ça sert aussi à baliser le chemin, tu connais pas le petit poucet ? Nan ?

22/3/07 15:12  
Blogger Nathalie Klein a écrit...

Gravier qui roule n'amasse pas foule.

23/3/07 14:07  

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