Mais où sont les week-end d'antan?
Vendredi après-midi, d'habitude une légère euphorie me vient à l'idée du week-end qui commence et de la "rupture" de rythme, même si les week-end sont eux aussi rythmés - par l'écrasante gestion d'une maisonnée de quatre personnes (plus quatre chats, dont deux blessés à la patte arrière gauche, un mouton, deux brebis et leurs agneaux, des poules, un chevreuil et... quelques arbres).
Aujourd'hui point d'euphorie, et même une certaine appréhension.
Les orages sont fréquents le week-end, et je n'ai vraiment, mais vraiment pas envie de ça...
Le repos, c'est pour quand?
De grâce, un peu de répit pour les parandados...
Aujourd'hui point d'euphorie, et même une certaine appréhension.
Les orages sont fréquents le week-end, et je n'ai vraiment, mais vraiment pas envie de ça...
Le repos, c'est pour quand?
De grâce, un peu de répit pour les parandados...
mis en ligne par "Manman" d'ados à 14:17
Flux Atome
7 Commentaire(s):
Salut
Ben j'découvre l'HISTOIRE et j'ai bien ris. Si si.
Pour les initiés, c'est belle-maman qui m'a transmis l'adresse ...
Ceci dit, rapide, 2 idées en l'air, j'essaierai d'approfondir ultérieurement si.
a) quand on appelle "papa" son mari, faut s'attendre à quoi ?
b) tu sais ce que veux dire "lacher les baskettes ?"
Tu m'en veux pas ?
Allez, à tchao bonsoir
Ben... je ne dois pas être initiée! Ou alors, fatiguée fatiguée... Ce n'est pas grave, bienvenue à toi! Et contente que tu te sois amusé...
Donc, attention, les "serreurs de vis", voici un membre de plus dans l'équipe de "lâcheurs de grappe" - ou de baskets, c'est pareil...(cf. Effet Pervers). La balance penchera-t-elle du côté de ceux-ci?
A bientôt!
M'ados
ps: au fait, je n'appelle pas Papa mon mari... parce que nous ne sommes pas mariés! Sinon, tu as raison, quelle horreur! Je ne m'adresse jamais comme ça à mon doux et tendre (tu imagines, il pourrait m'appeler "Manman"... beurk!) Par contre, lézados, si! d'où ce pseudo, ici et ici seulement...
La pensée du WE, de Douglas Kennedy (écrivain américain) :
"Flaubert demeure d'une dureté stupéfiante quand il touche au désespoir qui sous-tend tellement d'existances humaines, et la façon dont nous nous créons des problèmes, en partie pour échapper à notre ennui; ... il a été le 1er à comprendre que l'extraordinaire peut toujours être recherché dans l'ordinaire et qu'il n'y a rien qui vaille une "vie ordinaire"".
Relire Mme Bovary ou les romans de D.Kennedy peut nous aider à relativiser ?
Moi : père de 3 ados, les 2 parents travaillent. C sûr, c dur ..., mais quoi c leur vie qu'ils font, pas la notre (ratée) ! ;-)
A plus
Tu sais, il arrive aussi que les WE soient orageux chez ceux qui n'ont même plus d'ados chez eux !!!
Comme tu peux t'en douter, je suis contente de lire les réactions spontanées de Christophe...
Moi aussi j'ai été "choquée" par la façon dont tu nommes ton "compagnon", Papa...A méditer ce me semble !
Et puis lui aussi te parle de "lacher les baskets" et j'ai moi aussi essayé d'aller dans ce sens là avec semble-t-il trop d'amertume au gout de certains !
Les ados, je connais un peu, j'en suis au cinquième à la maison !
Il n'y a pas de recette hélas... et comme tu dis quoi qu'on fasse, on fait en général "mal" ... Alors autant leur donner de l'autonomie afin que cesse au plus vite,la dépendance ! Et qu'ils deviennent un tant soi peu libres ! Et adultes si possible...
C'est semble-t-il plus difficile pour les "fils" et les ainés aussi peut-être...
Il faut souvent se tourner vers sa propre histoire, sa propre adolescence, celle du père aussi...
Et son propre lien à ses parents et tout ce qu'on trimballe à ce sujet, ce qu'on répète ou ce que l'on ne veut pas répéter...
Et avec les fils c'est compliqué puisque nous, les mères, sommes des filles et n'y comprenons rien aux garçons !
Leur "lacher les baskets" signifie donc leur donner le plus possible de "liberté", leur faire CONFIANCE...
Et puis relativiser la réussite scolaire qui peut cacher parfois bien des problèmes personnels...
J'ai été ravie aussi que tu parles de ta "pudeur" à ne pas dire ce qui te soucie vraiment. Je crois que l'on touche là aux limites de ce blog et à ses "effets pervers"...
Ce n'est pas sur le blog que tu écriras ce qui te tracasse vraiment, ce qui te perturbe en tant que mère et femme...
Tout le problème est là...
Nous ne voyons dans ce blog que la face visible du iceberg, le reste reste plongé dans l'obscurité...
C'est pourquoi je te propose depuis longtemps d'en parler de vive voix...
Aucune agressivité de ma part, mais permets-moi de douter... de tout... surtout des apparences !!!
Amicalement, L...
J'aime les orages... ;-)
Christophe, c'est amusant... J'ai lu trois fois Madame Bovary, dont la dernière il y a trois ans. Quel écrivain fabuleux! J'ai lu, en fait, trois romans différents. La première fois, à quinze ans, j'ai aimé et souffert avec Emma... La deuxième fois, à 30 ans, j'ai été complètement enchantée de la beauté de la langue, de la science de l'écriture, de l'intelligence de l'oeuvre. La dernière fois, j'ai été frappée de la méchanceté de ce roman, de sa profonde cruauté vis-à-vis de ses personnages quasi sans exception.
Allez... je le relis encore (avec plaisir!), et cette fois-ci je relativise?
Quoi, au fait? Mes petits malheurs? Allez, je sais qu'il y en a de bien pires... Mon blog n'a d'autre objectif que de me permettre de parler de ces petits malheurs-là, justement... pour éviter de saouler mes amis avec! (l'avantage d'un blog étant qu'on peut le lire - ou ne pas le lire, au choix!)
En ce qui concerne la remarque de Kennedy sur l'extraordinaire de l'ordinaire... amusant, figure-toi que mon roman de chevet, en ce moment est "L'Infra-ordinaire" de Georges Perec! Bien visé, donc...
Autre chose... ma vie est loin d'être ratée (du moins, c'est mon opinion, et c'est la seule qui compte, subjectivement...).
A très bientôt? Voici un dialogue qui excite ma curiosité...
L, je vais bien, merci! (euh... en apparence?)
Heure-Bleue, je crois que le temps est à l'orage...
Africa, tu es donc peu félin...
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